A vous tous, Dirigeants, Entrepreneurs, Investisseurs, Acheteurs (CPO)
“Aider les autres, c’est la meilleure façon de s’aider soi-même.”
Nous pensions que la taille de nos structures nous conférait une omnipotence infaillible et durable. On se réveille aujourd’hui en constatant notre fragilité, notre besoin de contacts, d’échanges et d’humanité. La réaction grégaire pourrait être de se recroqueviller, de se créer un bas de laine et attendre les beaux jours. Pourtant, l’histoire du monde nous enseigne que la nature humaine est capable de s’adapter et de se dépasser dans les moments où seule l’incertitude était certaine. La réaction chimique, induite par le confinement, le changement et la peur, est entrain de laisser place à la gratitude, à la combativité, à la créativité et à la solidarité. Cela se traduit au quotidien par des milliers d’actions et à 20h par un témoignage sonore, joyeux et collectif.
Dans le monde de l’entreprise, on s’égosille à longueur d’année sur nos engagements sociaux, durables et solidaires. Toutefois sommes-nous réellement à la hauteur ? Et, jusqu’où ? En tant qu’entreprise sommes-nous dignes de nos principes, de nos valeurs en période de vache maigre et enfin notre empathie est-elle assez profonde pour toucher le bout de la chaine ? La réponse abstraite que nous pourrions donner à ces questions n’aura de valeur que plus tard. En revanche la réponse immédiate que nous devons apporter doit être concrète car « aider les autres, c’est la meilleure façon de s’aider soi-même ».
Prenons l’exemple d’un “Acheteur”. Il achètera moins, fera moins d’approvisionnement et par dépit va mettre en danger ses partenaires. Cet impuissance légitime doit se transformer en résilience collective. Il doit avoir les moyens d’accompagner ses fournisseurs dans la mise en place de solution alternative. C’est par exemple l’occasion d’aider ses fournisseurs à trouver des solutions pour augmenter leur niveau de trésorerie (leaseback, reverse factoring, …) afin de réduire leur dépendance à ses commandes, proposer des solutions de transversalité (mise en relation entre fournisseurs et clients, apporter de nouveaux relais de croissance, partager de l’information conjoncturelle en fonction de sa veille ou de son analyse de la situation de sa filière) et surtout garder le contact. Une phrase, un geste, un contact, un forward, une idée, une mise en relation peut tout déclencher.
La période que nous traversons est une énigme, un jeu de piste dans une atmosphère sereine et heureusement loin d’être délétère malgré les ravages du virus. Elle nous contraint d’unir nos lumières pour retrouver la trace d’un monde plus agréable, plus souriant et plus solidaire. Nous portons avec mes associés et nos équipes au sein de Logiq. Group la bienveillance en principe de fonctionnement car c’est de notre point de vue l’arme absolue pour avancer.
Au sein de Logiq. Group, notre contribution, permet à une dizaine d’entreprises de donner du souffle à leur trésorerie (Logiq. Leaseback), de revoir leur parcours clients afin d’intégrer le digital (Logiq. Business Challenge) au sein de leurs modèles pour recréer du lien avec leurs clients. C’est le moment du partage. A vos suggestions ou exemples sur des modèles de partage, de collaboration entre petites et grandes entreprises, de mise en relation ou sur des idées de solutions alternatives.
Abder ROCHDI, vice-président et co-fondateur de Logiq. Group #LogiqGroup #LogiqDigital #LogiqFinance #LogiqTrends
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